Deux prodiges vaudois du volant, Sébastien Buemi et Bastien Chesaux, invitent à lever le pied

A l'enseigne de "La route n'est pas mon circuit", les vaudois Sébastien Buemi et Bastien Chesaux, respectivement pilote de Formule 1 et pilote motocycliste STK 600, se sont associés à la campagne de prévention routière "La route n'est pas mon circuit", menée conjointement par la Police cantonale, les Polices communales vaudoises et la section Vaud du TCS.
Les vaudois Sébastien Buemi, pilote de Formule 1 et Bastien Chesaux, pilote motocycliste STK 600, ont prêté leur nom à la campagne d'affichage "La route n'est pas mon circuit", lancée ces jours par la Police cantonale vaudoise, les polices communales du canton et le TCS, section Vaud.

Ces deux pilotes sont depuis leurs jeunes âges au volant et au guidon d'engin pouvant atteindre des vitesses avoisinant les 300 km/h. C'est pourquoi, ils savent à quel point il peut être angereux de confondre circuit et route ouverte à la circulation.

Dans le courant du mois d'avril, près de 1'700 affiches au format mondial seront placées dans toutes les communes du canton de Vaud afin de sensibiliser les automobilistes circulant sur les routes vaudoises aux dangers de la vitesse et de l'absence de ceinture de sécurité.

Pour Sébastien Buemi, le comportement des usagers de la route doit être exemplaire et responsable, par une prise de conscience de tous les instants. Basien Chesaux pour sa part, invite les "motards" a réfléchir avant tout à leur propre sécurité, eux qui sont trop souvent victimes d'accident et qui en paie le plus lourd tribu avec 8 décès en 2011. Tout deux invitent les usagers à respecter les limitations de vitesse et à faire usage de la ceinture de sécurité, permettant ainsi d'éviter des drames. Les deux pilotes et la police invitent tous les usagers de la route à faire preuve d'égard et de courtoisie les uns envers les autres.

Les chiffres des accidents de la route sont éloquents. L'an dernier, dans le canton de Vaud, 31 personnes ont perdu la vie à bord d'un véhicule. La vitesse est la cause principale de ces accidents mortels (14 % des cas). En 2011, 4 victimes n'étaient pas protégées par leur ceinture de sécurité. Ne pas s'attacher multiplie par 11 le risque d'être tué lors d'un accident grave.

Lausanne, le 27 avril 2012

Philippe Jaton, officier de presse

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